Le meilleur logiciel ne sert à rien si l’approche managériale et la motivation des utilisateurs nécessaires pour en tirer le meilleur partie ne sont pas réunies.

Nous sommes au service des agents comme de l’encadrement. Sans les agents, pas de travail et pas les données nécessaires pour piloter les risques et la qualité en continue. C’est pourquoi nos équipes créent des applications que les agents aiment utiliser, qui les aident et les valorisent.

Pour nous, créer un logiciel adapté à la mission que vous devez accomplir est nécessaire, mais pas suffisant. Pour vraiment tirer parti de la puissance que lui offre le vrai pilotage d’activité, l’encadrement doit adapter légèrement et rapidement une partie de son approche managériale et mentale. Avec les données et le pilotage en continu, la nature du management change.

L’encadrement ne passe plus beaucoup de temps à reconstituer ce qui s’est passé sur ses sites : il est au courant de tout tout de suite. Eva Pilot lui dit (presque) tout ce qui est conforme, ce qui dit être géré ou réglé en priorité  (anomalies,  risques de retards et de sous-qualité).

Avec cette information fiable, synthétique et actionnable, le rôle du management se déplace vers l’analyse, la prise de décisions adaptées et le suivi des équipes pour prévenir les risques, délivrer la qualité attendue et assurer le niveau de performance fixé.

Développer la collaboration est un autre héritage de la culture d’Ozion. On retrouve ce parti pris dans la façon dont Eva développe le rôle des agents, de l’encadrement, et des possibilités augmentées de collaboration entre eux.

Quand nous aidons nos clients à déployer Eva sur un site, nous les sensibilisons toujours au changement.

Nos logiciels sont bien moins utiles s’ils sont utilisés sans l’adaptation opérationnelle nécessaire pour exploiter leur puissance. Cela passe par un pacte : valoriser les agents avec une « app » beaucoup plus facile et reconnaître la qualité du travail des agents quand ils remontent les données et se positionnent  prioritairement sur les tâches, incidents et risques prioritaires pour l’encadrement afin de garantir la conformité de la prestation à l’objectif.

La perception de l’encadrement change : il pilote son activité avec des données complètes et fiables qui l’alimentent en continue sur les  retards et risques à gérer en priorité.  Il peut s’appuyer sur des données pour renseigner et expliquer ses décisions, proposer un reporting détaillé avec des données 100 % tracées sur n’importe quel sujet à n’importe quel moment.

Il peut expliquer sa politique de prévention des risques sur la base de données historiques pour expliquer où sont les principaux risques, pourquoi et indiquer les mesures qu’il a prises pour les prévenir.

L’agent devient un allié responsable, fier et de plus en plus autonome mais étroitement relié à l’encadrement.

La direction de la sécurité-sûreté peut montrer comment ses méthodes sont comparables à celles du pilotage du budget, des ventes ou de l’externalisation de services outsourcés comme l’informatique.